Je tourne sur une femme,
une vraie pute banale,
du genre qu’on ne prend pas –
au moins pas dans son lit –
(la conjugaison de ses pensées à lui
avec l’ondulation de sa mauvaise volonté à elle
rend les sens extasiés en phrases
dont il désire les mots).
L’homme que je manipule,
tu préfères ne pas le voir.
(traduction du poème ‘de muze’ de Dirk Vekemans)
Één reactie op “La muse”
Merci Marc!
’t Origineel staat hier: https://dirkvekemans.com/2018/02/08/de-eerlijke-muze/